Vie du service

_{Crédit vidéo | Cellule communication, Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

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Marianne : le label renouvelé pour 3 ans !

L’audit de renouvellement Marianne s’est déroulé du 25 au 27 juin 2019. Pour cette occasion, nous avons accueilli une nouvelle auditrice de l’Afnor, Madame Hélène Decorbez.

Quatre bibliothèques, sur les neuf intégrées au périmètre, ont été visitées : la bibliothèque du Pege et les bibliothèques éducation et enseignement des sites de Colmar, Sélestat et Strasbourg. Lors de ces visites, l’auditrice a pu constater les efforts portés sur l’harmonisation de nos pratiques sur l’ensemble des bibliothèques, y compris sur les sites distants. L’appartenance des bibliothèques éducation et enseignement de Colmar et Sélestat au Service des bibliothèques est bien visible et l’amélioration de la qualité de l’accueil sont également au cœur des préoccupations des personnels.

Le travail collaboratif, les efforts constants et l’investissement de l’ensemble des équipes dans les bibliothèques ont été soulignés par Madame Decorbez.

Quelques préconisations, notamment liées à l’accueil des personnes en situation de handicap, ont été faites afin de garantir une qualité de l’accueil identique pour tous les publics. La réflexion a d’ores et déjà débuté avec les correspondants Marianne des bibliothèques concernées, soutenus par Dorothée Hoenen, qualiticienne à l’Université de Strasbourg. L’objectif pour cette année 2019-2020, est de construire deux nouveaux outils : un tableau de suivi des indicateurs des réponses apportées aux demandes des usagers (par téléphone et par courriel) ainsi qu’un plan d’actions listant, par bibliothèque, l’ensemble des initiatives réalisées ou projetées pour améliorer la qualité des services rendus aux usagers. Pour ce faire, un groupe de travail restreint vient d’être constitué.

L’audit de suivi sera réalisé à l’hiver 2020 et, avant cette date, les projets sont nombreux : lancement de l’enquête de satisfaction qui proposera une nouveauté-un questionnaire spécifique sera envoyé, via le SVU-Mission handicap, à l’ensemble des usagers en situation de handicap ; mise à jour des pages bibliothèques sur le portail web ; définition et planification d’actions, par bibliothèque mais aussi pour le service ; réflexion sur l'intégration, dans le périmètre, du Studium et éventuellement d'autres bibliothèques.

L’appel est donc officiellement lancé : si vous souhaitez vous lancer dans la démarche de certification et intégrer, lors de l’audit de suivi, le périmètre des bibliothèques labellisées, vous pouvez contacter Sabrina Rigal, référente qualité de l’accueil.

Sabrina Rigal

_{Crédit photo | Cellule communication, Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

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Un dispositif de rentrée bien rodé

Pour ses 10 ans, l'Université de Strasbourg a déployé un ambitieux dispositif d'accueil des étudiants lors de cette rentrée, permettant au Service des bibliothèques de faire connaitre le réseau.

Un grand merci aux collègues qui se sont mobilisés pour l'organisation du planning des permanences, tout particulièrement à Delphine Noël Schmitt qui a coordonné l'opération.

Merci à tous les collègues des BU, des médiathèques de la Ville de Strasbourg et de la BNU qui se sont relayés au guichet multiservices tout au long de la semaine d'Agora de rentrée, lors du Village des Services le 2 septembre à Illkirch et le 3 septembre à l'Esplanade, ainsi que le 5 septembre lors de l'après midi d'accueil des nouveaux personnels de l'université.

En parallèle, de nombreuses visites étaient effectuées par groupes dans les bibliothèques.

Quelques chiffres :

• 298 visiteurs au Village des services (263 en 2018)

• 73 visiteurs au Guichet au Platane (121 en 2018)

• 93 visiteurs au Village des 10 ans

• 31 visiteurs au village solidaire d'Illkirch

• 8 000 étudiants ont bénéficié de visites de bibliothèques en groupes (chiffre inférieur à 2018 car certaines bibliothèques, dont l'IEP-Ipag en cours de déménagement, n'ont pas organisé de visites cette année)
  
  

_{Crédit photos | Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

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Nouveaux ateliers univOAK proposés à la bibliothèque L'Alinéa

L’équipe univOAK propose chaque 1^er mardi du mois à la bibliothèque L’Alinéa un atelier pour les enseignants-chercheurs, chercheurs et doctorants de toutes disciplines.

L’objectif est d’accompagner les chercheurs dans leur utilisation d’univOAK et de répondre à leurs questions sur la science ouverte et le libre accès aux publications. Chacun peut venir avec ses publications en PDF afin que nous les déposions ensemble sur univOAK.

N’hésitez pas à en parler aux chercheurs qui fréquentent vos bibliothèques !

→ Lien vers l'info en ligne des ateliers

Héloïse Gazeau

_{Crédit photo | Cellule communication, Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

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Nouveaux services à la bibliothèque du Pege

Deux nouveaux services complètent le renseignement à l’accueil de la bibliothèque du Pege pour des demandes complexes ou particulièrement chronophages pour les équipes (en économie/gestion/management) :

• Ateliers : formations à la recherche documentaire / rédaction de bibliographie (2h les mardis après-midi)

• Rendez-vous individuels d’1 heure avec un(e) bibliothécaire : un accompagnement personnalisé par créneaux (3 par semaine) dont 1 en anglais

L’inscription est ouverte à tous, elle se fait via l'application Affluences, une facilité supplémentaire pour les étudiants.

Toute l'équipe de la bibliothèque du Pege s'implique dans ce nouveau projet qui risque très vite de trouver son public, et peut-être de faire des émules...

Aline Demange

Grands projets

Déménagement de la bibliothèque de l'IEP-Ipag au Cardo : faux départ... mais bonne humeur de rigueur

Alors que la bibliothèque de l’IEP-Ipag s’apprêtait à faire sa mue pour devenir enfin la bibliothèque du Cardo en intégrant le nouveau bâtiment à partir du 14 octobre, nous avons appris au matin du 7 octobre (1^er jour de fermeture définitive au 47 avenue de la Forêt-Noire) que le déménagement était à nouveau reporté.

Il a donc fallu s’organiser pour ouvrir à nouveau la bibliothèque dès le 9 octobre, ce qui signifiait remettre en place des collections déplacées, défaire des cartons, modifier la localisation des nouveautés traitées quelques jours plus tôt et les équiper d’antivols magnétiques, informer les usagers... tout en continuant à accueillir les étudiants dans les meilleures conditions et avec plein d’ondes positives (et des Carambars !)

Ce dernier rebondissement implique aussi des difficultés sur le site du Cardo, puisqu’une partie du mobilier (tables et étagères) a été installée, les 384 chaises et chauffeuses ont dû être stockées dans un lieu sécurisé.

Malgré tous ces aléas, nous essayons de garder notre bonne humeur et notre motivation en prenant les choses positivement : lorsqu’enfin nous foulerons le sol du Cardo nous découvrirons une grande et belle bibliothèque… terminée !

Nous souhaitons remercier tous les collègues des bibliothèques venus cet été nous prêter main forte pour équiper les 30 000 documents en puce RFID, sans vous nous y serions peut-être encore !

Merci à Cathy Mathis pour l’aspect technique de la RFID et ses allers-retours à la bibliothèque et à toute l’équipe SIGB ainsi que Nicole Krieger pour la préparation des migrations des collections dans le Sudoc.

Et une mention spéciale à Claire Nassoy pour sa mobilisation, son expertise et ses déplacements presque quotidiens sur le chantier !

Caroline Ausina

_{Crédits photos | Caroline Ausina, Service des bibliothèques · Université de Strasbourg & Catherine Schröder, Service de la communication · Université de Strasbourg}

Animation culturelle

Retour sur les Journées européennes du patrimoine (21 et 22 septembre)

• Valorisation du chantier mené sur les plaques de verre à la Faculté des arts

La mise en valeur des plaques de projection comme support d’enseignement souhaitée par l’université à l’occasion des Journées européennes du patrimoine 2019 s’est faite notamment par le biais de la présentation du projet d’étude, de préservation et de valorisation de la collection très importante de l’Institut d’histoire de l’art, initié par Denise Borlée et Hervé Doucet, enseignants-chercheurs en Histoire de l’art.

Le Service des bibliothèques a été associé à ce projet : les 20 404 plaques ont été numérisées, ce qui constitue l'intégralité de la collection. Plus de la moitié est d'ores et déjà en ligne sur la bibliothèque numérique patrimoniale Numistral et le travail d’enrichissement, notamment par l'ajout de métadonnées de description, est en cours.

Lucie Le Gouas-Wald et Régine Tournay étaient présentes avec les enseignants-chercheurs responsables du projet lors de ces 2 journées pour présenter les différentes étapes du processus de numérisation, et pour présenter l’accès en ligne à ce fonds via Numistral. La manifestation dans l’amphithéâtre Daubrée à l’Institut de géologie a rencontré un public (environ 140 visiteurs au total) particulièrement enthousiaste à découvrir ce projet et cette collection.

Régine Tournay

^{Crédit photos | Régine Tournay, Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

• Exposition de planches anatomiques De secretis mulierum · Des secrets de femmes : représentation du corps féminin du XVIème au XVIIIème siècle

La bibliothèque de médecine et odontologie a proposé une exposition commentée de reproductions, ouvrages anciens et planches anatomiques retraçant la représentation du corps féminin, du 16e au 18e siècle à un public venu très nombreux (300 visiteurs sur les 3 jours), ainsi qu'une visite commentée et riche en anecdotes dans les magasins patrimoniaux de la bibliothèque, avec une mise en situation par un cas pratique de recherche d'ouvrage fortement apprécié.

Un numéro spécial du magazine d'Arte Kreatur, intitulé Mieux soigner le corps des femmes, a été projeté. Le public a particulièrement apprécié cette émission qui questionne l'égalité entre femmes et hommes face à la médecine : diagnostic mal posé, douleurs minimisées voire ignorées... et qui pose la question : comment faire bouger les choses ?

Un grand merci aux personnes impliquées dans l'organisation et l'animation de ces deux journées : Magali Risch, Marie Rehlinger, Mylène Zugmeyer, Sandrine Oubrier, Marion Bernard-Schweitzer, Johanna Figliuzzi (étudiante vacataire pour la médiation de l'exposition) et l'ensemble de l'équipe de la bibliothèque de médecine et odontologie pour la préparation en amont des ces journées.

Un remerciement particulier à Marion Bernard-Schweitzer qui a assuré la coordination de ces Journées européennes du patrimoine pour le Service des bibliothèques, et à Emma Donnart pour la réalisation des supports (posters d'exposition, affiche et dépliant "De secretis mulierum").

^{Crédit photos | Marion Bernard-Schweitzer & Cellule communication, Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

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Retour sur la rencontre avec l'écrivain Víctor del Árbol

Le 22 octobre 2019 à la bibliothèque du Portique, les étudiants sont venus nombreux à la rencontre de l'écrivain espagnol Víctor del Árbol à l'occasion du lancement de la résidence littéraire européenne Écrire l'Europe et du concours d’écriture étudiant Prix Louise Weiss.

En présence de Mathieu Schneider – vice-président Culture, sciences en société, et Pascal Maillard – professeur à la Faculté des lettres, les étudiants lauréats du concours de l'année passée ont offert au public une lecture d'extraits de leur texte (que vous pouvez retrouver dans le recueil Bleu, blue, blau publié aux Presses universitaires de Strasbourg).

Un échange avec Víctor del Árbol a ensuite été animé par Marion Bernard-Schweitzer et Anne Costa. L'écrivain a partagé des anecdotes amusantes et touchantes sur son enfance, son travail d'écriture, et le rôle capital de la littérature (et des bibliothèques !) dans sa vie.

Le thème de l'édition 2019-2020 du Prix Louise Weiss a par ailleurs été dévoilé : ailleurs... si proche.

Víctor del Árbol est l'auteur invité en résidence littéraire Écrire l'Europe 2019. À ce titre, il parraine le concours d'écriture étudiant – Prix Louise Weiss 2020, anime des ateliers de création littéraire et donne une série de conférences entre octobre et décembre.

_{Crédit photos | Cellule communication, Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

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Expositions

• En cours

Dessins de Matthieu Exposito - artiste plasticien
→ jusqu'au 31 octobre 2019 à la bibliothèque des arts

Le road trip de l'artiste plasticien et performeur Matthieu Exposito a fait une escale strasbourgeoise à la bibliothèque des arts pour son vernissage le 24 septembre dernier. Une occasion pour rencontrer cet artiste hors normes en quête de la construction d'un monde commun symbolisée par la Cabane Expopaix, son projet artistique, comme lieu d'apprentissage et de conscience de l'environnement. Un artiste doué, dérangeant, terriblement attachant.

→ matthieu.exposito.com

^{Crédit photo | Cellule communication, Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

Égaré : photographies de Juliette Pavy
→ jusqu'au 1^er décembre 2019 à la bibliothèque des langues

L'inauguration de l'exposition de photos nommé Égaré s'est tenue le 1^er octobre à la bibliothèque de langues. Juliette Pavy, photographe parisienne, a présenté 10 photos en noir en blanc, toutes dans une ambiance de brume, prises à Kalmar en Suède. Le responsable de la bibliothèque de langues Fabien Lorentz a apporté une touche très conviviale à cette exposition en interprétant plusieurs chansons de Bob Dylan à la guitare.

Maria Baliassova-Rentz

_{Crédit photos | Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}
 

• À venir

Danse macabre dans les arts et la littérature
→ du 3 novembre au 3 décembre 2019 à la bibliothèque du Portique

En Europe occidentale, la Danse macabre était un genre très en vogue vers la fin du Moyen Âge : dans le théâtre, la poésie, la musique et les arts.

Par cette sarabande qui mêle morts et vivants, elle montrait au peuple qui souffrait, que ni la pourpre ni les richesses ne peut empêcher la mort de faire son office : un pape ne vaut pas mieux qu’un cordonnier, une grande dame qu’une femme du peuple, un empereur qu’un paysan, un moine à ventre rebondi qu’un pauvre hère sans pain.

Ceux qui vivaient dans le pouvoir et l’opulence étaient condamnés au même dénouement.

La Danse macabre est un genre thématique qui évoque la soumission de tout être humain à l’autorité de la mort. Il s'agit le plus souvent de gravures ou peintures qui représentent de façon symbolique une danse dans laquelle un squelette entraîne les personnes les unes après les autres selon un ordre hiérarchique.

Trois graveurs à l’affiche :

• Guyot Marchant, la Danse macabre (Édition de Paris) 1486
• Hans Holbein le jeune, Les simulacres et historiées faces de la mort, 1526
• Mathieu Merian, La danse macabre du grand Bâle, 1621

Inauguration et spectacle dansé le mercredi 6 novembre 2019
sur le thème des danses macabres, accompagné de deux lectures de textes par l'Artus, compagnie de théâtre étudiant.

Animation musicale et table ronde le mercredi 13 novembre 2019
avec Tatiana Victoroff, professeur de littérature comparée et ses étudiants en master 2.

Anne Costa

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Cycle de rencontres Les Pus à l'oreille

• Passées

Espions et pratiques du renseignement : les élites mâconnaises au début du XVe siècle
→ le 26 septembre 2019 à la bibliothèque d'histoire - recherche

Rencontre avec Benoît Léthenet en présence de Georges Bischoff, professeur émérite à la Faculté d'histoire, docteur en Histoire, docteur ès Lettres et directeur de l'Institut d'Histoire du Moyen Âge, animée par Julien Briand, docteur en histoire médiévale. Focus sur le cas de Mâcon au bas Moyen Âge, où les pratiques du renseignement et de l’information stratégique font partie intégrante de l’art de gouverner.

→ Plus d'informations sur l'ouvrage
 

La plaque photographique, un outil pour la fabrication et la diffusion des savoirs - XIXe - XXe siècle
→ le 17 octobre 2019 à la bibliothèque des arts

Rencontre avec Denise Borlée et Hervé Doucet en présence de Nicolas Di Méo, responsable du département des collections, de Régine Tournay, chargée de projets de numérisation et de Laurent Vila, responsable de la bibliothèque numérique patrimoniale. Ce volume collectif s’inscrit dans les recherches actuelles sur le patrimoine pédagogique et scientifique.

Témoignages croisés sur l'élaboration d'un ouvrage commun et la complémentarité des savoirs, une belle occasion de mettre en lumière les coulisses de la numérisation. Un énorme et minutieux travail décomposé en deux périodes : 6 mois de tests préparatoires (avril à novembre 2017) puis 1 an et demi pour la numérisation (jusqu'à juin 2019).

Ce travail collaboratif a été effectué par Régine Tournay, Lucie Le Gouas-Wald, Gayané Archakian pour la numérisation, par Catherine Banos pour le nettoyage des plaques, sous la supervisation de Nicole Heyd qui a également effectué la saisie des données. La coordination du projet avec les chercheurs a été assurée par Georges Gressot, Laurent Vila et Nicolas Di Méo.

→ Plus d'informations sur l'ouvrage

^{Crédit photo | Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

• À venir

Écouter voir
→ le 21 novembre 2019 à la bibliothèque du Portique

Nouvelle collection d'études cinématographiques avec Benjamin Thomas, directeur de la collection, et Luc Vancheri, auteur de l'ouvrage Factima de Philippe Faucon, second ouvrage paru dans cette collection.

→ Plus d'informations sur l'ouvrage

Les BU dans l'Unistra

La politique de science ouverte de l’Université de Strasbourg

La politique de science ouverte de l’Université de Strasbourg a été approuvée par la Commission Recherche le 25 septembre 2019. Portée par Yannick Hoarau, Vice-Président Recherche délégué Science ouverte et données de recherche, et par Mathieu Schneider, Vice-Président Sciences en société, elle vise à améliorer la diffusion de la recherche, grâce à la mise en accès libre des publications et des données de la recherche, grâce à la construction de programmes de recherche participative, et grâce au développement d’outils interactifs de médiation scientifique en dehors du monde académique.

La politique de science ouverte porte sur plusieurs domaines (transformation des Presses universitaires de Strasbourg en un éditeur open access, formation des personnels…), dont deux concernent directement le Service des bibliothèques :

• À compter du 1er janvier 2020, le dépôt des publications scientifiques (références et texte intégral) et des données associées dans l’archive ouverte univOAK sera obligatoire, et seules les bibliographies extraites d’univOAK seront acceptées dans les dossiers de promotion des enseignants-chercheurs ou dans les réponses à des appels à projets ;

• Une plateforme numérique (Research Data Helpdesk) composée des équipes du Service des bibliothèques et de la Direction du numérique (Dnum) guidera les chercheurs pour traiter et diffuser leurs données conformément aux principes de la science ouverte.

La création du pôle « Appui à la diffusion de la recherche » au sein de la nouvelle organisation du Service des bibliothèques permettra de mettre en œuvre, de manière opérationnelle, cette politique.

Adeline Rege

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Reconduction de la licence Elsevier pour 2019-2022

La licence nationale avec l'éditeur Elsevier a été reconduite pour la période 2019-2022 :

• Elle concerne la Complete Freedom Collection, la Bibliothèque médicale française et les revues Cell Press ;
• Les Hôpitaux Universitaires de Strasbourg accèderont à ces ressources à compter de 2020 ;
• La facture nationale sera réduite de 13,7% en 2022 par rapport à 2018. Les économies sur le tarif 2019 (baisse de 5%) seront reversées aux établissements et au Fonds National pour la Science ouverte.

Adeline Rege

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Partenariat entre Open Edition Books et les Presses universitaires de Strasbourg

OpenEdition est un portail de ressources électroniques en sciences humaines et sociales dont la principale mission est la promotion de l’édition électronique en libre accès. Il se compose de quatre plateformes : OpenEdition Journals (anciennement Revues.org), OpenEdition Books, Hypothèse (carnets de recherches) et Calenda (calendrier d’événements académiques).

Les Presses Universitaires de Strasbourg (Pus), engagées dans le développement de la science ouverte, permettent désormais aux usagers de l’Université de Strasbourg et de la BNU d’accéder gratuitement, depuis la plateforme OpenEdition Books, aux ouvrages qu’elles éditent. Huit collections (86 ouvrages) sont actuellement en ligne.

À cela s’ajoutent 1 195 ebooks acquis sous licence nationale en histoire et sociologie. Les usagers de l’Université de Strasbourg bénéficient également d’un accès aux ebooks acquis par la BNU.

Dans le cadre de la politique de science ouverte de l’Université de Strasbourg, les Pus vont prochainement offrir un accès libre à toutes leurs publications y compris les revues. Quatre titres sont déjà disponibles sur OpenEdition Journals.

L’Université de Strasbourg, dans le cadre du Plan de soutien à la science ouverte, a souscrit en 2019 à la version Freemium de la plateforme OpenEdition Journals qui permet d’accéder au texte intégral de 172 revues au format PDF et ePub (la version HTML est en libre accès).

Nadège Brandler

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Balade littéraire à l'INSPÉ de Colmar

Les étudiants du CFMI (Centre de formation des musiciens intervenants) de Sélestat ont entraîné les étudiants de Colmar dans une balade littéraire et musicale dans les couloirs de l’INSPÉ et à la bibliothèque éducation et enseignement.

Comment raconter un album de jeunesse et le mettre en musique ? Tel était le défi du jour. En recherche d’idées pour l’animation du stand INSPÉ au prochain Festival du Colmar (23 et 24 novembre prochain), les étudiants ont pu découvrir qu’allier musique et album n’était pas un jeu d’enfant.

Albums lus et mis en musique :

• Rouge matou, Eric Battut
• 2 oiseaux, Eric Battut
• Plouf !, Philippe Corentin
• La complainte de Gecko, Marie Brignone

Nathalie Frayon

^{Crédit photo | Nathalie Frayon, Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

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Enfin une Cellule développement durable à l'Unistra !

La nouvelle cellule Développement durable de l'Université de Strasbourg s’est dotée d’ambitieux objectifs pour accompagner l’université dans la dynamique du développement durable.

Auparavant, la mission développement durable portée par Alexia Martin, conductrice d’opérations au sein de la Direction du Patrimoine Immobilier, disposait de peu de marge de manœuvre et d'un manque de visibilité. Issue notamment des conclusions portées par les différents ateliers de Cap 2030, la Cellule compte désormais 3 personnes, dont Clarisse Pham et Emilia Vogtenberger, respectivement chargée de projets et volontaire en service civique, qui s’investissent à temps plein dans les activités liées au développement durable. Un réseau de référents a également été créé pour faciliter la circulation d'informations et d'initiatives.

La cellule peut compter sur un réseau de partenaires pour soutenir, relayer et nourrir ses projets : l’association étudiante Campus vert, le Jardin des sciences, le Service pour la promotion de l’action sociale (Spacs) ou encore Zéro déchet Strasbourg.

Claire Nassoy et Emmanuelle Gemmrich sont les référentes développement durable au sein du Service des bibliothèques.

Une réunion est d'ores et déjà prévue le 28 novembre. N'hésitez pas à les contacter pour leur transmettre vos initiatives, idées, ou besoins. Un recensement des actions déjà existantes sera bientôt effectué au niveau des services et des composantes dans le but de s'inspirer de l'existant et de rejoindre une dynamique collective.

Retrouvez les actualités des évènements, de la recherche et des initiatives des personnels et étudiants autour du développement durable à l'université, ainsi que les éco-guides sur l'espace développement durable sur Ernest.

Plus d'infos : lire l'article de L'Actu du 4 octobre 2019

_{Crédit photo | Catherine Schröder, Service de la communication · Université de Strasbourg}

Ressources humaines

Nouveaux arrivants

^{Crédit photo | Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

De gauche à droite : Emmanuelle Gemmrich, Lionel Dietrich, Héloïse Hervieux, Stéphanie Brunner, Julie Isola et Sandrine Oubrier.

 
Stéphanie Brunner | Magasinier contractuelle (bibliothèque L'Alinéa)

• En quoi consiste votre travail au Service des bibliothèques ?
  J’assure le service public. J’aide aux différentes tâches (recotation, réception, exemplarisation, désherbage, pilon).

• Quel était votre précédent poste et où exerciez-vous votre activité ?
  J’étais vacataire au sein de la bibliothèque de la Misha de janvier à juin 2019.

•  Si vous étiez un livre, lequel seriez-vous et pourquoi ?
  Un roman de fiction historique, car j’aime voyager et m’imaginer traverser le temps en lisant.

• Quel est votre endroit préféré pour lire et pourquoi ?
  Dans un endroit calme, en pleine nature. De préférence dans l’herbe, sous un arbre.
   

Lionel Dietrich | Prévention, maintenance et logistique (2A rue de la Fonderie)

• En quoi consiste votre travail au Service des bibliothèques ?
  Mes activités se basent sur 3 métiers différents. Le premier, la prévention des bâtiments et la sécurité des personnes en correspondant avec les services centraux et les prestataires de service. Le second je m’occupe de la petite maintenance afin d’accueillir le public dans les meilleures conditions et le troisième, la logistique pour garantir un service efficace pour le public.

• Quel était votre précédent poste et où exerciez-vous votre activité ?
  Mon précédent poste était similaire à la différence que la maintenance prédominait largement mes autres activités. J’exerçais au Collège Doctoral Européen où résident des doctorants, d’une capacité de 100 studios et à la Villa Arconati Visconti avec 27 appartements pour loger des enseignants chercheurs, post-doc…

• Si vous étiez un livre, lequel seriez-vous et pourquoi ?
  Si j’étais un livre, je serais le code moral pour ses valeurs et sa sagesse.

• Quel est votre endroit préféré pour lire et pourquoi ?
  L’endroit idéal pour moi, c’est sur la plage hors saison, n’ayant que le bruit de la mer en fond sonore.
   

Héloïse Hervieux | Magasinier contractuelle (bibliothèque L’Alinéa)

• En quoi consiste votre travail au Service des bibliothèques ?
  En dehors du service public, je consacre une bonne partie de mon temps à la communication de la bibliothèque : changement de nom, ouverture dominicale… il y a toujours quelque chose à faire ! Le reste de ma semaine est dédié à l’effort de guerre : recotation des collections LSHS, en vue de l’ouverture (prochaine ?) du Studium.

• Quel était votre précédent poste et où exerciez-vous votre activité ?
  Je découvre, avec mon arrivée à l’Alinéa, le monde des bibliothèques. Je n’ai pas eu de poste fixe auparavant ; j’ai exercé diverses activités pendant et après mes études.

• Si vous étiez un livre, lequel seriez-vous et pourquoi ?
  La poésie est pour moi pratique et expérience ludique du collage, de l’entrechoc, de la percussion. DADA avant l’heure, Calligrammes (Apollinaire) surprend, amuse, interroge par sa forme et les liens qu’il propose. Il possède une couleur et une dynamique singulières. J’aspire à lui ressembler.

• Quel est votre endroit préféré pour lire et pourquoi ?
  Parc, café, tram ou banc public : j’aime lire dans les espaces fréquentés, et faire l’expérience de l’isolement dans le monde. Pour moi, il n’y a pas de meilleur signe qu’un roman est bon que d’oublier de descendre à la bonne station !
   

Sandrine Oubrier | Magasinier contractuelle (bibliothèque de médecine et odontologie)

• En quoi consiste votre travail au Service des bibliothèques ?
  J’ai rejoint en septembre l’équipe des formateurs à la bibliothèque de médecine et odontologie. Nous proposons aux étudiants un accompagnement pour optimiser leurs recherches documentaires et apprendre à utiliser des logiciels comme Zotero. Ces formations s’inscrivent dans le cadre du cursus universitaire ou à la demande. Mon poste comprend également un volet consacré à l’animation culturelle. J’aimerais sensibiliser les étudiants à la valeur patrimoniale du fonds conservé à la BMO.

• Quel était votre précédent poste et où exerciez-vous votre activité ?
  Après une première expérience en lecture publique, j’ai souhaité m’orienter vers la recherche et l’enseignement supérieur. J’ai travaillé dans le centre de ressources à la Fondation de l’Œuvre Notre-Dame puis j’ai obtenu un stage à la bibliothèque des arts de l’université. J’étais chargée du traitement documentaire des ouvrages, des mémoires et des périodiques, de la recotation d’un fonds et des ateliers de présentation des bases en ligne. En outre, j’ai participé plus largement à la valorisation du fonds et aux animations culturelles.

• Si vous étiez un livre, lequel seriez-vous et pourquoi ?
  Pour avoir vécu plusieurs années à l’étranger, j’apprécie particulièrement les penseurs et poètes des traditions asiatiques pour la vue philosophique originale qu’ils proposent. Je citerais peut-être le splendide traité de Shantideva, La Liberté naturelle de l’Esprit de Longchenpa ou bien encore les Koans, petits textes aussi courts qu’édifiants utilisés pour déstabiliser le mental conditionné et apporter fraicheur et ouverture à la pensée, source d’altruisme.

• Quel est votre endroit préféré pour lire et pourquoi ?
  Je devrais répondre une bibliothèque, bien sûr ! Mais non, un peu partout en fait. Je n’ai pas de réelle préférence. Si le livre est passionnant, il peut nous captiver à tout moment et à n’importe quel endroit.
  
  

Julie Isola | Magasinier contractuelle (bibliothèque L’Alinéa)

• En quoi consiste votre travail au Service des bibliothèques ?
  Je fais du service public à la bibliothèque, je travaille au pôle de documentation juridique en m’occupant du rangement des nouveautés et désherbage de la salle de droit. Je fais l’inventaire de ces ouvrages afin de les mettre en magasins et faire le désherbage de la réserve active.

• Quel était votre précédent poste et où exerciez-vous votre activité ?
  J’ai travaillé pendant mes études de master à la bibliothèque des arts qui se trouve au sous-sol du Palais Universitaire, puis à la fin de mon master en histoire de l’art j’ai travaillé dans les musées pendant presque un an avant de rejoindre l’équipe de L’Alinéa.

• Si vous étiez un livre, lequel seriez-vous et pourquoi ?
  Si j’étais un livre je serais certainement un livre de Tolkien, car rien ne vaut un bon voyage dans la Terre du Milieu pour s’évader ! Et pour le réconfort, je serais Tous les matins du monde de Pascal Quignard.

•  Quel est votre endroit préféré pour lire et pourquoi ?
  Je pense que n’importe quel endroit peut devenir un cocon lorsque nous sommes happés dans un bon livre !
   

Angeliki Kiapekaki | Chargée du catalogage du fonds d'études néo-helléniques (bibliothèque du Portique)

• En quoi consiste votre travail au Service des bibliothèques ?
  Je m'occupe du signalement du fonds d'études néo-helléniques.

• Quel était votre précédent poste et où exerciez-vous votre activité ?
  J'étais vacataire étudiante à la bibliothèque de médecine.

• Si vous étiez un livre, lequel seriez-vous et pourquoi ?
  Harry Potter, parce que il me rappelle qu'"on peut trouver le bonheur même dans les moments les plus sombres... il suffit de se souvenir d'allumer la lumière".

• Quel est votre endroit préféré pour lire et pourquoi ?
  Chez moi, au salon, avec un bon café.

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Sélection de formations Médial et Urfist – novembre à février 2019

• Médias et esprit critique : comment développer ses compétences et celles des publics jeunes pour déjouer les manipulations? (Médial, 7 et 8 novembre 2019, bibliothèque du Pege)

• Outils de veille (Urfist, 18 novembre, Atrium)

• Les enjeux de la recherche en Open Access (Urfist, 2 décembre, Atrium)

• Introduction aux données de la recherche (Urfist, 9 décembre, Atrium)

• Personnaliser un style bibliographique Zotero (Urfist, 11 décembre, Atrium)

• Zotero initiation (Urfist, 16 décembre, Atrium)

• Zotero avancé (Urfist, 18 décembre, Atrium)

• Utiliser les méthodes d'expérimentation et d'innovation en bibliothèque (Médial, 11 février 2020, Strasbourg)

Et pour plus d'informations :

→ medial.univ-lorraine.fr
→ urfist.unistra.fr

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Promotion

Félicitations à Giuseppe Malerba pour sa réussite à l'examen professionnel d'avancement au grade de technicien classe supérieure session 2019.

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Carnet rose

Flora est née le 27 septembre à 18h. Félicitations à Marie-France Juchert !

Boîte à outils

Ernest : un nouvel univers professionnel à découvrir

Depuis la rentrée, Ernest se faufile dans les conversations et réunions, mais ne s'impose pas encore à tous...

Mélange de réseau social, d’intranet et de bureau de travail, Ernest va très certainement changer nos habitudes de travail mais demandera effectivement un temps d’adaptation.

Le Service des bibliothèques est déjà bien présent dans sa page dédiée dans la rubrique Université > Services centraux, alimentée avant la fin de l'été par Noélie Plasse et Emma Donnart. Les informations y figurant sont essentiellement destinées aux usagers (horaires, accès, réserver une salle, numériser un document, consulter la presse...), avec une large place à l'actualité (colonne de droite) et la possibilité d'accéder directement à des documents utiles. Ce nouveau canal permet de valoriser l'offre de service des bibliothèques en complément du site bu.unistra.fr.

De nombreux espaces ont également vu le jour : ces espaces créés à la demande sont destinés à partager des projets professionnels ou des thématiques communes, certains sont ouverts d'autres fermés. La cellule communication a créé pour le moment deux espaces de travail, l'un pour l'organisation interne des projets de la cellule, l'autre pour regrouper tous les correspondants communication des bibliothèques. Ce dernier permet d'échanger entre correspondants sans passer par la messagerie, de retrouver les documents essentiels au réseau, mais aussi d'organiser les projets communs. C'est une première prise en main qui permet aux collègues de se familiariser avec les fonctionnalités d'Ernest, avant de passer à la vitesse supérieure en proposant bientôt des formations internes au service des bibliothèque, et à terme des espaces collaboratifs par pôles et bibliothèques.

Conseils pour une prise en main rapide :

• l'utilisation des applications : vous y retrouvez GTT, Partage, Evento, Seafile...
• s'abonner à un espace ouvert pour participer aux échanges d'un groupe
• suivre l'actualité pour être informé de façon ciblée

La prise en main d'Ernest semble déroutante, voir rebutante, dans un premier temps. Mais il ne s'agit pas d'un x-ième site intranet habillé dans de nouveaux atours et portant un prénom de majordome, il s'agit bien d'un outil performant pour faciliter l'organisation de son travail et de ses échanges. Pour lui laisser une chance de vous séduire, il faut l'explorer. Cela prend effectivement un peu de temps, mais cela vous en fera gagner beaucoup ensuite !

Parole de convaincue !

^{Crédit photo | Cellule communication, Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

À la BNU

Une saison homérique

La saison culturelle de la Bnu 2019/2020 est lancée : au programme, plus de 80 événements de toutes natures, du concert à la projection en passant par les conférences et journées d’études, les rendez-vous de découverte que sont les nuits de la lecture et des musées ; et bien sûr, les expositions.

La saison s’est d’ailleurs ouverte sur une fin d’exposition : Hors du monde, la carte et l’imaginaire, une expérience inédite mêlant patrimoine cartographique, art contemporain, littérature et sciences. Une heureuse expérience si l’on en croit les chiffres de fréquentation (11 587 visiteurs) et les nouveaux publics que cette exposition a pu accueillir en visite pédagogique, de la maternelle aux étudiants avancés. Et vous étiez plus de 220 à enchaîner les trois séances de la trilogie du Seigneur des anneaux projetée en parallèle de l’exposition au cinéma Odyssée le 28 septembre, en version ultra-longue, jusqu’à 3h du matin !

Le fil directeur de cette saison est lié en partie à cette exposition, qui consacrait une vitrine à la géographie de l’Odyssée ; mais aussi au fait – surprenantes conjonctions des astres programmatiques – que la plupart de nos partenaires, quand ils n’ont pas l’Odyssée dans leur nom, ont également mis sur le métier cette année qui une adaptation d’Homère, qui une de ses dérivées (l’odyssée d’Antoine Doinel par exemple), qui une autre épopée fondatrice. Homère donc, comme figure tutélaire d’une saison où se croisent prodiges et monstres : monstres et montrer ont la même origine…

Un fil directeur, mais aussi un nouveau principe : une billetterie systématique est mise en place depuis le site web de la Bnu, pour permettre aux spectateurs/visiteurs/auditeurs de réserver leur place pour les événements comme pour les visites et éviter ainsi les déconvenues.

Les principales dates à retenir (mais il y en a bien d’autres !) :

• 22 octobre > 3 décembre : cycle Écrire l’Europe, rencontres avec l’écrivain Victor del Árbol, avec l’Université de Strasbourg (faculté des langues)

• 9 > 14 décembre : Cycle Truffaut : Le roman d’Antoine Doinel avec le Théâtre du Maillon

• 29 janvier > 4 avril : cycle La Danse : rencontres avec la chorégraphe Mathilde Monnier, avec l’Université de Strasbourg (faculté des arts)

• 6 mars > 26 avril : Arsmondo Inde à la Bnu, avec l’Opéra national du Rhin

• 19 mars > 26 avril : Rencontres de l’illustration de Strasbourg à la Bnu, avec Central Vapeur

• 6 juin > 8 novembre : exposition Deux mille vins, patrimoine et diversité de la dive bouteille

→ Retrouvez le programme détaillé de la première partie de saison

→ Billetterie

Emmanuel Marine - BNU

Et ailleurs

Retour sur le 49ème congrès de l’ADBU

Le 49ème congrès de l’ADBU (association des directeurs et personnels de direction des bibliothèques universitaires et de la documentation) s’est tenu à Bordeaux du 17 au 19 septembre 2019. Martine Gemmerlé et Nicolas Di Méo ont pu y assister pour le service.

Le thème de la journée d’étude était l’intelligence artificielle (IA) et ses applications en bibliothèque. Depuis une quinzaine d’années, en effet, le big data a donné une nouvelle vigueur à la recherche sur l’intelligence artificielle : les machines sont désormais capables d’absorber d’immenses quantités de données, ce qui permet de les confronter à davantage de modèles ou de situations, et donc de programmer leur comportement avec toujours plus de finesse. Dans les bibliothèques, les applications sont encore limitées, mais elles commencent tout de même à se développer : c’est ainsi, notamment, que la présence de robots chargés de fonctions d’accueil du public (encore relativement simples) ne relève plus, aujourd’hui, de la science-fiction – une évolution qui, toutefois, pose un certain nombre de questions en matière de redéfinition des tâches des agents.

En termes de recherche documentaire, les applications ne sont pas négligeables non plus : dans le cadre du projet GallicaPix, par exemple, la BnF utilise des techniques de reconnaissance d’images pour explorer différemment des corpus numérisés dans Gallica – essentiellement, pour l’instant, ceux qui ont trait à la Première Guerre mondiale. Le domaine, cependant, reste encore largement à explorer ou à inventer et il est difficile de prédire l’impact qu’aura l’IA sur le fonctionnement des services documentaires dans les prochaines années.

Le congrès, enfin, s’est terminé par la traditionnelle matinée politique, consacrée cette année à la science ouverte (un sujet dont les bibliothèques se sont emparées depuis quelque temps déjà et à propos duquel elles ont réaffirmé leur souhait de jouer un rôle moteur), ainsi que par des annonces du ministère, parmi lesquelles on retiendra en particulier le prolongement en 2020 du plan bibliothèques ouvertes, dont le financement se fera à hauteur des crédits alloués en 2018.

Vidéos :

• Retour sur la journée d'étude Tous bibl-IA-thécaires ? L’intelligence artificielle, vers un nouveau service public

• Retour sur la matinée politique Les bibliothèques universitaires et le développement de la science ouverte : réalités, espoirs et enjeux

Retrouvez également sur le site web de Grand Labo, partenaire du congrès, un compte-rendu de l’événement et de nombreuses vidéos complémentaires.

Prochain congrès de l'ADBU à Marseille, pour les 50 ans de l'association.

Nicolas Di Meo

^{Crédit photo | Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}
Le congrès de l'ADBU accueille un salon des exposants, l'occasion pour les congressistes de découvrir et tester de nouveaux produits, mobiliers et ressources destinés aux BU !

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Visite de bibliothèques parisiennes

Dans le cadre du projet de regroupement des bibliothèques juridiques, dix collègues ont visité trois bibliothèques parisiennes le mardi 24 septembre dernier : deux établissements purement juridiques (Panthéon Assas, BU Jeanne Chauvin) et le site de l’université Dauphine.

Si l’intérêt consistait surtout à examiner l’aménagement des locaux et le mobilier, les visiteurs se sont aussi intéressés aux aspects services, collections et organisation du travail.

Un diaporama largement illustré sera présenté à la prochaine réunion plénière du Service des bibliothèques.

Delphine Munier

^{Crédit photo | Service des bibliothèques · Université de Strasbourg}

À lire, à voir

Club de lecture au Spacs

Un nouveau Club de lecture vient de se créer à l’Unistra, porté par l’initiative personnelle de 3 collègues du Service des bibliothèques : Sylvia Klamm, Emilie Balduini et Maeva Jouan.

Chaque mois, un thème de lecture est proposé afin que les participants puissent échanger et faire découvrir leur lecture au groupe présent en toute convivialité. Les réunions se déroulent à la bibliothèque du Spacs, un jeudi par mois de 17h30 à 19h30.

Pour connaître la date et la thématique du mois, retrouvez le Club de lecture Listra sur Ernest.